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La recherche vocale une clé du SEO en 2018

En ce début d’année, les articles qui tentent de prédire le  SEO pour 2018 citent la recherche vocale comme la grosse tendance à coté de laquelle il ne faudra pas passer.  D’autant qu’il faudra s’adapter au nouvel index mobile first

Si vous vous demandez ce qu’il faudra faire face à cette évolution et comment vous pourrez mettre en place des actions pour faire répondre votre contenu aux requêtes dictées par les utilisateurs, je vous propose quelques techniques qui vous aideront à maintenir la visibilité pour ce type de recherches.

Tous les fournisseurs de technologie, et pas seulement Google, investissent dans les assistants virtuels — et par extension, dans la recherche vocale.

et j’en omets dont ceux des marques qui travaillent sur les automobiles autonomes

Ajoutez à cela Amazon Echo et Google Home qui tentent de vous «rendre heureux» en obéissant à vos ordres d’écoute de la musique ou de livres audio, créer des listes de tâches, régler des alarmes et contrôler des appareils intelligents dans votre maison.

Même les réfrigérateurs deviennent intelligents et sociables…il ne reste plus qu’à obtenir des poubelles qu’elles se mette sur le trottoir le mardi matin…

Bien que les assistants virtuels soient là depuis quelques années déjà, ce phénomène n’en est encore qu’à son aube, et de nouveaux développements sont attendus très prochainement.

Que vous soyez sceptique ou enthousiaste, selon MindMeld, en 2015, la recherche vocale sur les smartphones est passée de rien à 50 milliards de recherches par mois en ce début 2018.

Allerà la seconde partie de l’article

Une statistique à ne pas négliger.

L’agence SEO HigherVisibility a publié une enquête sur un panel de 2000 utilisateurs de téléphone mobile et a constaté que 27 % des répondants utilisent des assistants de recherche vocale quotidiennement, tandis qu’un autre 27 % les utilisent au moins une fois par semaine.

Des résultats de plus en plus personnalisés

Les assistants vocaux s’appuient sur le traitement de votre langage naturel.

Cela signifie qu’au fil du temps, ces algorithmes apprennent les modèles propres à la personne qui leur parle, ses préférences dans les restaurants, ses transports, ses magasins et d’autres composantes de leur comportement.

Sur la base de ces connaissances, les assistants virtuels fournissent alors des résultats de recherche adaptés et pertinents qui varient d’un utilisateur à l’autre.

La montée en puissance des assistants vocaux a des implications dramatiques pour les marques qui comptent sur la recherche pour attirer du trafic vers leur site.

La recherche vocale présente des différences fondamentales par rapport à la recherche typographique. Nous en parlerons plus en détail plus loin dans l’article et nous vous dirons ce qu’il faut faire pour gagner ces visites sur votre site.

Le commerce « commandé à la voix » représente un tout nouveau défi pour les entreprises commerciales (les E-Commerce) qui doivent s’adapter à cet univers où la majeure partie du trafic qui convertit est mobile.

Pour la partie SEO, nous devons assimiler ce dont les assistants virtuels sont capables et prendre en compte la valeur SEO (comme le choix des restaurants, d’achat de billets de spectacle, etc.) de ce type recherche.

C’est réellement une nouvelle voie, quasi un nouveau marché pour les spécialistes SEO car nous aurons à cœur que nos clients restent les sites préférés des assistants vocaux dans la SERP mobile first. Et il est clair que la compétition sera beaucoup plus ardue, compte tenu de cette personnalisation des résultats.

Penser d’abord mobile (mobile first).

La commodité qui va de pair avec la recherche vocale est généralement associée à l’usage des appareils mobiles, on parle bien des requêtes émises sur smartphones. Et suite à cette montée en puissance de l’utilisation du mobile, Google passera d’ici la mi-2018 à mobile first, un index indépendant de celui des ordinateurs de bureau.

Une fois cet outil déployé, l’indexation mobile passera devant celle effectuée pour les desktops.

Les raisons sont logiques : Les recherches vocales sont

Regardez ces chiffres :

« Les requêtes de recherche vocale de Google en 2016 ont été multipliées par 35 en 8 ans »

(Google Trends via Search Engine Watch).

Selon Google, plus de la moitié des requêtes seront vocales d’ici 2020.

Bien sûr, ce n’est pas une catastrophe. La recherche vocale ne va pas tuer celles tapées au clavier, de même les appareils mobiles ne vont pas non plus éliminer l’usage des ordinateurs de bureau… bien que certaines personnes se posent sérieusement la question, c’est ce que l’on appelle le Mobilegeddon.

Le néologisme Mobilegeddon fut utilisé pour désigner la date du 21 Avril 2015 . Date du déploiement de l’algorithme qui devait, à paramètres égaux par ailleurs, privilégier les sites compatibles mobiles dans ses pages de résultats affichées sur téléphones intelligent (S.E.R.Ps mobiles).
Le terme de Mobilegeddon fut choisi pour sa connotation «terrifiante» censée imager des bouleversements jamais vu en terme de positionnement.

L’année 2018 est annoncée comme un second Mobilegeddon avec la mise en place de l’index mobile first.

L’Index Mobile First désigne une  façon différente d’analyser et juger un site web par Google. Il est privilégié la version mobile d’abord plutôt que la version ordinateur de bureau, (comme jusqu’alors. La pertinence mobile dégagée est ensuite utilisée par le moteur desktop et celui mobile.

Les téléphones intelligents sont tellement présents dans nos vies que la plupart d’entre nous n’imaginent plus s’en passer, quel que soit l’usage qu’on en fasse. On vérifie les notifications, on ne quitte pas la maison sans lui (sous peine d’anxiété chronique).

Cette tendance modifie nos comportements et nos habitudes de recherche en tant qu’internaute.

Quand il s’agit de trouver une réponse courte et succincte sur le web, les gens penchent pour le mobile. Cette attitude a même un nom, les micromoments. Ce sont ces moments où l’on se tourne vers son smartphone pour régler un besoin immédiat, chercher une info au moment où une question passe par la tête,  se désennuyer dans une attente:

Google divise les micromoments en 4 types :

Ces micromoments  engendrent un véritable champ de bataille des marques.

65 % des utilisateurs de smartphones s’accordent à dire que lorsqu’ils effectuent une recherche sur leur smartphone, ils attendent les informations les plus pertinentes, quelle que soit l’entreprise qui les fournit.

L’urgence est ici un facteur clé .

Votre site Web doit s’afficher à l’instant de la demande, il doit être rapide et efficace pour conquérir ce consommateur prêt à passer au site suivant. Et donc…

Recherche vocale ou non, votre portail doit être efficace sur mobiles, on dit aussi « Google friendly »,

 Comment le vérifier cette parfaite «compatibilité téléphones intelligents»?

1. Utilisez Google Search Console.

(si cela n’est pas fait)

2. Testez la compatibilité «mobile-friendly» de vos pages.

Avant de procéder au test, n’oubliez pas que la « convivialité mobile » est évaluée pour chaque page, ce qui signifie qu’il faut les vérifier une par une. Un peu long…
On peut gagner du temps avec WebSite Auditor, qui intègre le test officiel de Google.

Faites un audit « mobile » approfondi.

De ce côté-là, un expert SEO sera probablement la meilleure ressource, mais cet article de MOZ apporte des pistes sérieuses quant aux paramètres à prendre en considération.

3. Gardez toutes vos ressources indexables.

Assurez-vous que votre site mobile ne bloque pas

cela se passe dans le robots.txt et au niveau serveur

4. Évitez définitivement le Flash.

Flash n’est pris en charge par quasi aucun des navigateurs mobiles.
Ceci n’est pas un scoop de premier ordre, les sites en flash déjà très handicapé en SEO sont condamnés sur les smartphones.

Optimiser le temps de chargement.

40 % des mobinautes n’attendront pas plus de trois secondes avant d’abandonner un site (vous si ?).
L’optimisation des images et leur compression sont les moyens les plus simples d’améliorer la vitesse et le « UX mobile » (l’expérience utilisateur) de votre site Web.

Même s’il existe des solutions de traitement des images en bloc, je reste convaincu que le meilleur travail est obtenu grâce à une optimisation via les logiciels comme

La recherche de nouveaux mots-clés liée au « parlage ».

Il y a un phénomène curieux dans la comparaison des recherches typographiques et vocales. Lorsque vous tapez, vous utilisez un certain nombre de mots-clés distincts qui reflètent succinctement ce que vous aimeriez découvrir. La syntaxe n’a plus d’importance, vous pouvez faire au plus court.

En revanche, quand vous parlez à votre téléphone ou à tout autre appareil, vous le traitez en quelque sorte comme une créature vivante, exprimant ainsi vos interrogations comme des questions ou des déclarations qui sonnent naturelles.

En fait, Google rapporte que 70 % des questions traitées par Google Assistant sont exprimées en langage naturel.

Vous le devinez, l’approche de la recherche par mot-clé pour ces types de requêtes devra être sensiblement différente. La recherche vocale est davantage axée sur les mots-clés conversationnels longs et les questions que les gens sont susceptibles de poser.

Les expressions-clés de plus de quatre ou cinq mots sont considérées comme de « longues traînes ». S’ils sont moins compétitifs, parce que moins frappés au clavier, ils convertissent plus souvent plus efficacement la pensée

Ainsi, lorsque vous ciblez de telles expressions-clés et phrases qui répondent aux questions que vos clients potentiels sont susceptibles de poser, vous avez beaucoup plus de chances de bien positionner votre page dans les résultats de recherche.

Si Google répond différemment à

« Comment faire pour migrer un site en HTTPS sans perdre de positions dans les résultats de Google » requête vocale…

La page classée première répond très probablement parfaitement à la question car elle est très précise, l’internaute cherche un tutoriel…

Tandis que si vous tapez « passer en HTTPS », une requête courte typique de la frappe clavier,  les réponses de Google sont plus largement interprétées, car l’intention de l’internaute n’est pas claire et dans ce cas, des articles plus globaux sont mis en avant, la page de résultat présente des résultats très différents ;
Vous pouvez constater que les résultats sont très différents, seuls deux sites figurent les deux fois dans le top 9.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Captures prises le 12 janvier 2018, cliquer l’image pour agrandir


Le principe de la longue traîne va s’appliquer à la recherche vocale…

La variété des questions posées (chacun s’exprime différemment pour exprimer la même demande, conjuguées avec les profils des internautes qui les posent, multipliera les variantes de résultats et donnera plus de chance à plus de sites, mais moins de clics qu’aux sites uniquement positionnés sur les requêtes génériques.

On s’aperçoit bien que la taille de l’article et la tournure de la rédaction doivent être adaptée au mieux pour figurer dans la SERP dans tous les formes de recherches.

Suite de l’article (+ 1500 mots dans une semaine)

 

Construisez votre contenu autour de questions.

Les pronoms — qui, quoi, quoi, où, pourquoi, quand et comment — sont fortement associés aux requêtes de recherche vocale, car ils sont de nature conversationnelle. Il est donc de bonne pratique d’utiliser ce style et bâtir votre <title> avec le pronom tandis que <h1> répondra à la question.

La fonction des « mises en avant » de la première page de résultats Google « people also ask » vous aide même à trouver les questions que les internautes posent.

Cliquez les tiroirs de la boîte de résultats « Autres questions posées » et c’est une infinité de questions connexes qui vont s’afficher et s’ajouter à mesure que vous cliquez sur ces résultats. Après quelques clics, les questions peuvent se répéter, mais dans l’ensemble, c’est une boîte magique qui s’ouvre vers de nouveaux sujets.

2. Créez une page de questions et réponses.

Dans le cas où elle ? est applicable, la création d’une page de questions-réponses (ou FAQ) est un moyen sympa et cool d’optimiser votre site pour les requêtes qui sont faites sur le mode « qui, que quoi , quand », ces expressions-clés de longue traîne qu’on utilise sans effort en parlant à son téléphone.

Cette section posera et répondra aux questions qui sont pertinentes à votre contenu et aux questions de vos clients.

De plus, quel que soit le ton général de votre contenu, vous veillerez à rédiger dans un style conversationnel dans ce type d’article.

La position zéro sur téléphone intelligent.

La soi-disant « position zéro », c’est un bloc qui se place entre les Adword et avant tous les résultats de la SERP qui contiennent un extrait de type « académique », une définition, une généralité — et qui serait selon l’algorithme la meilleure information rapide en réponse à la requête de l’utilisateur.

Contrairement à Google Knowledge Graph, la boîte contient un lien vers la source. Tandis que la même page se trouvera souvent en top 3 des résultats naturels.

Mais on a vu des positions zéro qui provenaient de sites placés en 7e page des résultats, là où personne ne va…

Il faut donc admettre que la position zéro est une excellente opportunité pour améliorer la visibilité d’un site en profitant des clics qui en découlent.

Avec la montée en puissance de la recherche mobile et vocale, les snippets ont gagné en valeur réelle.

Pourquoi ?

Voyons ce qu’il y a sur un smartphone :

Le résultat zéro occupe tout l’espace de l’écran !

Si vous faites une recherche vocale et que votre téléphone vous présente une résultat de type position zéro vous verrez qu’il occupe tout l’espace de l’écran. Cela fait que cette réponse apparaitra unique et aura une chance énorme d’être cliquée

Prenez aussi l’exemple de Google Home.

Lorsque l’assistant répond à la question posée avec l’information du Web, il cite la source de cette information en indiquant le nom du site, et il envoie souvent le lien vers l’application Google Home du « chercheur ».

 

Comment optimiser votre page pour figurer dans cet extrait en vedette.

Vérifier les mesures d’engagement.

Votre site Web dans son ensemble et la page visée en particulier, doivent être appréciés par Google, au point que le moteur considère votre contenu comme le plus pertinent pour le résultat zéro.

Utilisez Google Analytics pour vérifier les pages qui peuvent être extractibles.

Regardez l’autorité des pages qui lui sont supérieures dans l’arborescence (gros DA, très consultés, bénéficiant de nombreux liens de qualité, etc).

Si vous constatez que leurs facteurs d’engagement (taux de rebond, CTR, durée de la session, nouveaux visiteurs, nombre de pages visitées, etc.) sont inférieurs à la moyenne, cela signifie que ces pages ont besoin d’être revues.

Rendez votre contenu snippable.

Vous devez présenter à Google un contenu exhaustif sur le sujet traité et structurer le discours parfaitement.

Dans votre rédaction, commencez par l’information la plus importante, la plus générale, la plus académique pour répondre à la question/sujet de l’article.

Passez ensuite à plus de détails dans le traitement du sujet et allez au-delà de la réponse directe et…

Ajouter une première image optimisée

Optimiser le format.

Grâce à un formatage HTML judicieux et logique (<h> <table>. <p> <ul> <li> ) et grâce à la structuration de vos données (et à son marquage dans Search Console), vous allez guider Google jusqu’aux recoins des champs lexicaux et des microdatas dont il a besoin pour considérer votre texte et le coller dans la boîte magique.

Formater votre page cible en fonction des principaux types d’extraits présentés :

Paragraphes et titres : Pensez à un bref résumé pour répondre à une question potentielle, environ 40-50 mots à insérer dans la case réponse. Formatez ce paragraphe dans un paragraphe HTML tag <p> et mettez ce paragraphe directement sous l’en-tête de la question. C’est le chapô

Tables : Google adore inclure des « tables » dans ces extraits, car ils sont beaucoup plus faciles à comprendre pour les ordinateurs, contrairement aux paragraphes en langage naturel.

Ainsi, lorsque cela a du sens, ajoutez les données tabulaires ou reformatez les paragraphes appropriés dans les tableaux. Marquez le tableau sur votre page à l’aide d’une balise <table>.

Listes : Donnez à votre liste <ul>/<li>> un titre (H2) qui corresponde au mot-clé ciblé et formatez les points développés en sous-titres.

Rappelez-vous que Google peut également créer ses propres listes à partir du texte. Ainsi, vous pouvez formater votre texte avec des sous-titres là où il est logique de le faire. Google découpera alors vos sous-titres et les énumérera chronologiquement.

Demandez de réindexation.

Une fois que vous avez apporté les modifications à vos pages, utilisez Google Search Console pour les réindexer. Apparemment, cet outil envoie la page à Google qui la traite rapidement.

Localement recherché.

Si vous exploitez une entreprise locale, cette section s’adresse à vous, car les recherches vocales sont souvent plus axées sur l’emplacement que les recherches tapées.

J’ai mentionné plus tôt que les recherches vocales proviennent majoritairement des appareils mobiles, lesquels sont dotés de GPS, cela permet aux utilisateurs d’effectuer des recherches qui sont interprétées par le moteur comme « Proche de moi ».

Ainsi, quand une personne fait une requête urgente ciblée dans une zone où votre service est offert, assurez-vous d’être là, dans la carte.

Selon Google, trois personnes sur quatre qui cherchent quelque chose avec une visée de proximité en utilisant leur smartphone se  rendent dans le magasin dans la journée, et 28 % de ces recherches aboutissent à un achat.

Comment faire :

Créez une page Google My Business.

Un compte Google My Business est le passage obligé si vous voulez voir s’afficher vos magasins dans chaque quartier où ils se trouvent.

Veillez à fournir des informations correctes et pertinentes : une adresse, un plan, les coordonnées et les horaires de travail, jours de congé inclus (n’oubliez pas de mettre à jour ces informations en cas de déménagement).

Rédigez une description unique pour votre entreprise, choisissez les bonnes catégories et téléchargez au moins cinq photos.

Enfin, choisissez une photo de qualité. Cette photo ne doit pas forcément être un logo, mais doit représenter votre entreprise. Optez pour une image carrée, 250×250 pixels au moins.

Obtenez des commentaires positifs.

Essayez d’obtenir des commentaires de la part de vos clients, c’est un critère important dans le classement dans le pack local de Google. Ne trichez pas, mais sollicitez-les auprès de vos clients contents.

Ici, vous pouvez consulter les règles de Google pour les commentaires. Prenez le temps de répondre aux commentaires même si ce n’est que pour dire merci. Cela fera du bien à votre fiche.

Vous pouvez surveiller les mentions de votre marque régulièrement, Google vous avertit lorsque quelqu’un vous rédige un commentaire

Utilisez les microdonnées schema.org.

L’utilisation de microdonnées peut donner à votre site un classement local pour les mots-clés sans marque.

La section locale de Schema.org propose une variété de codes que vous pouvez utiliser, y compris une adresse, le téléphone, et les heures de travail.

Utilisez ce guide magistral sur la mise en œuvre du balisage de données structurées.

Optimiser les campagnes AdWords pour les recherches « Near me ».

Si vous avez déjà lancé une campagne AdWords pour votre entreprise locale, vous pouvez maximiser votre visibilité à la fois pour la voix et la recherche classique en utilisant les conseils suivants :

Utilisez les extensions de localisation AdWords :

Lorsque vous activez les extensions d’emplacement dans AdWords, l’outil permet d’afficher l’adresse, le numéro de téléphone et les directions pour se rendre à votre entreprise sous vos annonces. C’est important si vous voulez apparaître dans les recherches « Proche de moi ».

Utilisez les annonces Google Maps Local Search :

Pas encore très populaire, ce type d’annonces apparaît au-dessus des résultats organiques dans Google Maps et coûte moins cher que le réseau search. Vous pouvez utiliser ce guide pour savoir comment utiliser ce genre d’annonces.

Un dernier conseil.

Il est difficile d’optimiser les aides vocales et de saisir leurs possibilités sans l expérimenter soi-même. Essayez donc certains de ces appareils, téléchargez les applications, jouez avec eux, observez comment votre famille et vos amis interagissent avec eux. Cela vous permettra de mieux ressentir les finesses de leur fonctionnement.

Voyez ce que recommande Google

Google avait déjà communiqué en 2017  en publiant «qu’est-ce qu’un bon contenu dans la perspective de l’utilisation d’un assistant vocal ? » qui donne une série de recommandations liées à la recherche vocale.

Mais la documentation la plus récente est ici, elle s’appuie sur des exemples concrets.

Voici aussi un hang out sur sujet – toujours  John Muller qui a bien maigri

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